diminution du nombre d’erreurs (qui passent de 20 à 4),
moins d’hésitations (diminution de l’intervalle de temps entre deux touches qui passe de 0,30 à 0,25 s).
amélioration constante des performances en cinq jours
Document 2 :
augmentation importante de l’aire motrice active concernant uniquement la main entraînée.
Document 3 :
G1 [poursuite entraînement] : amélioration des performances d’abord de courte durée : après chaque arrêt (week-end) => régression de l'amélioration; puis la régression est de moins en moins sensible, au bout de trois semaines, la régression n’existe plus => effet de l’entraînement
Mis en relation avec l’extension de l’aire motrice active : pendant les premières semaines, on constate une grande différence entre l’importance de l’aire active le lundi et le vendredi.
La différence d’étendue de l’aire motrice entre le lundi et le vendredi tend à s’estomper : l’entraînement semble alors avoir stabilisé l’étendue de l’aire motrice.
G2 [arrêt entraînement] : retour rapide à la situation initiale (régression des performances + régression étendue aiire motrice) VALEURS
éléments scientifiques attendues (connaissances du cours)
sous l’effet de l’apprentissage, le cerveau est capable d’étendre le territoire impliqué dans la commande motrice de la main active, ce qui améliore les performances motrices: lien performance / carte motrice
l’amélioration des performances dues à l’entraînement apparaît dès lors installée durablement.
l’entraînement doit être poursuivi si l’on veut conserver de bonnes performances motrices.