Document 1 : comparaison de l'étendu des glaces entre -21 000 ans et l'actuel
Baisse de la surface des glaces = signe d'un réchauffement climatique
Document 2 :
mise en relation des valeurs de l'aldédo des glaces et des océans avec les données du doc 1
fort albédo = perte énergétique => favorable à refroidissement
cas 21 000 ans (forte étendue des glaces au pôle nord)
faible albéro = gain énergétique => favorable à réchauffement
cas actuel (recul des glaces au pôle nord)
Document 3 : variations cyclique des données + synchronicité
Valeurs 21 000 ans / Valeurs actuelles
les variations de l'excentricité sont responsables de variations de l'ensoleillement donc des variations de températures
éléments scientifiques attendus :
albédo = mécanisme amplificateur des changements climatiques = forçage interne
durée d'un cycle climatique = 100 000 ans (90 000 ans période glaciaire + 10 000 période interglaciaire)
Cycles de Milankovitch = forçage externe
Thermomètre isotopique
Idées essentielles :
Il y a 21 000 ans l'excentricité de l'orbite terrestre était faible (proche de 0,1), ce qui est favorable à une absence de saison => installation d'un climat glaciaire. Confirmation par les données du delta18O (rapport relativement élevé signe de température faible)
Le refroidissement favorise l'étendue des glaces, ce qui augmente l'albédo global entretenant ainsi le refroidissement climatique global. Et inversement.
Actuellement l'excentricité de l'orbite terrestre est moyenne (proche de 0,2), ce qui est favorable à un contraste des saisons => période interglaciaire. Confirmation par les données du delta18O (rapport relativement faible signe d'une hausse des températures)